Le projet
Les virgules sont salutaires. Elles nous permettent de ralentir, marquer une pause et reprendre notre souffle. Elles donnent un sens à ce que l’on a sous les yeux; elles amènent de la clarté, de l’équilibre, de l’harmonie et du discernement.
Paradoxalement, les virgules sont rares à l’université. Pressés par des échéanciers serrés, des travaux à remettre, des articles à rédiger, nous courrons constamment, sans jamais s'arrêter. De plus, nous évoluons dans un climat compétitif à l’intérieur duquel la charge de travail est lourde, la pression est énorme et les conflits souvent inévitables. Certes, ce milieu peut être excitant et enrichissant, mais il peut aussi être exténuant.
Le Projet Virgule s’inscrit dans la foulée des initiatives mises de l'avant par le Groupe de Recherche et d'Intervention sur la Présence Attentive (GRIPA). Son objectif est simple : donner l’opportunité aux étudiants, aux professeurs, aux chargés de cours et aux employés de l’UQAM qui le souhaitent de prendre une pause, développer leur présence et leur attention. Par ricochet, ce projet vise à promouvoir la qualité de vie à l’UQAM et prévenir les problèmes de stress, d’anxiété et d’épuisement.
Les virgules dont il est question ici sont séances de méditation ainsi qu'une communauté de pratique offerts dans un contexte séculier, sans aucun référent religieux ou spirituel. Chaque semaine, deux séances de 20 minutes sont offertes sur l'heure du dîner. Ceux et celles qui souhaitent y prendre part se présentent tout simplement à l’heure prévue, sans réservation. On entre, on se pose, et on respire, en silence. Également, une communauté de pratique se rassemble une fois au deux semaines pour échanger sur leur pratique et méditer. D'autres activités comme les séances d'introduction à la méditation sont également offertes chaque session (voir la section TYPES D'ACTIVITÉS pour plus de détails).
Paradoxalement, les virgules sont rares à l’université. Pressés par des échéanciers serrés, des travaux à remettre, des articles à rédiger, nous courrons constamment, sans jamais s'arrêter. De plus, nous évoluons dans un climat compétitif à l’intérieur duquel la charge de travail est lourde, la pression est énorme et les conflits souvent inévitables. Certes, ce milieu peut être excitant et enrichissant, mais il peut aussi être exténuant.
Le Projet Virgule s’inscrit dans la foulée des initiatives mises de l'avant par le Groupe de Recherche et d'Intervention sur la Présence Attentive (GRIPA). Son objectif est simple : donner l’opportunité aux étudiants, aux professeurs, aux chargés de cours et aux employés de l’UQAM qui le souhaitent de prendre une pause, développer leur présence et leur attention. Par ricochet, ce projet vise à promouvoir la qualité de vie à l’UQAM et prévenir les problèmes de stress, d’anxiété et d’épuisement.
Les virgules dont il est question ici sont séances de méditation ainsi qu'une communauté de pratique offerts dans un contexte séculier, sans aucun référent religieux ou spirituel. Chaque semaine, deux séances de 20 minutes sont offertes sur l'heure du dîner. Ceux et celles qui souhaitent y prendre part se présentent tout simplement à l’heure prévue, sans réservation. On entre, on se pose, et on respire, en silence. Également, une communauté de pratique se rassemble une fois au deux semaines pour échanger sur leur pratique et méditer. D'autres activités comme les séances d'introduction à la méditation sont également offertes chaque session (voir la section TYPES D'ACTIVITÉS pour plus de détails).
Pourquoi méditer?
D’abord pour ralentir, se poser, et reprendre son souffle.
Pour en arriver aussi à être un peu plus présent et attentif à ce qui se passe en nous et autour de nous. Trop souvent, nous fonctionnons sur le « pilote automatique », par habitude, réflexe ou impulsion. Pris dans nos pensées, préoccupés par tout ce qu’il nous reste à faire, nous oublions de nous arrêter et d’observer. Rares sont les moments où nous jetons l’ancre dans l’instant présent. Méditer, c’est tout simplement tourner notre attention vers le mouvement de notre respiration, de nos pensées, de nos émotions ou de nos sensations. C’est aussi observer ce mouvement avec ouverture, curiosité et bienveillance, sans souhaiter le changer ou le contrôler.
Et puis on médite pour prendre soin de nous, tout simplement. Les bienfaits de la méditation sont connus depuis longtemps et sont bien documentés dans les écrits scientifiques. Elle aide à accroître l’attention, le bien-être de même que la qualité de vie. Elle aide par ailleurs à réduire le stress, l’anxiété, l’épuisement et la dépression (voir la section RESSOURCES afin d’en savoir plus).
De même, en méditant, on développe peu à peu une plus grande écoute de soi et des autres, ce qui se reflète dans nos façons de communiquer. Le silence et l’attention que l’on cultive envers soi facilitent l’écoute de l’autre. Le processus de découverte de soi invite à la bienveillance envers les autres. Méditer permet de développer des habiletés de communication respectueuses, non violentes, fondées sur une présence bienveillante.
Pour en arriver aussi à être un peu plus présent et attentif à ce qui se passe en nous et autour de nous. Trop souvent, nous fonctionnons sur le « pilote automatique », par habitude, réflexe ou impulsion. Pris dans nos pensées, préoccupés par tout ce qu’il nous reste à faire, nous oublions de nous arrêter et d’observer. Rares sont les moments où nous jetons l’ancre dans l’instant présent. Méditer, c’est tout simplement tourner notre attention vers le mouvement de notre respiration, de nos pensées, de nos émotions ou de nos sensations. C’est aussi observer ce mouvement avec ouverture, curiosité et bienveillance, sans souhaiter le changer ou le contrôler.
Et puis on médite pour prendre soin de nous, tout simplement. Les bienfaits de la méditation sont connus depuis longtemps et sont bien documentés dans les écrits scientifiques. Elle aide à accroître l’attention, le bien-être de même que la qualité de vie. Elle aide par ailleurs à réduire le stress, l’anxiété, l’épuisement et la dépression (voir la section RESSOURCES afin d’en savoir plus).
De même, en méditant, on développe peu à peu une plus grande écoute de soi et des autres, ce qui se reflète dans nos façons de communiquer. Le silence et l’attention que l’on cultive envers soi facilitent l’écoute de l’autre. Le processus de découverte de soi invite à la bienveillance envers les autres. Méditer permet de développer des habiletés de communication respectueuses, non violentes, fondées sur une présence bienveillante.